Depuis plusieurs années, je ne peux pas passer sans être dérangée, près des troncs enracinés dans la souffrance. Ils se tiennent tranquillement sur un genou pour demander de l'aide, comme ce pommier qui crie de chagrin. Surtout quand ils sont sans drap, sans couverture.
Ils sont comme des gens debout devant Dieu, sans couverture. Il voit leur faiblesse, leur impuissance et Il peut les aider, de la même manière que la main de quelqu'un a aidé en soutenant cet arbre en pente.